Des pénuries ? Voici les rayons vides de l’épicerie.
Note introductive de JWR : Cet article a été publié pour la première fois dans l’excellent Révolution rurale blog sur l’agriculture familiale. Il est repris avec l’autorisation de l’auteur.
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J’ai une amie dans le Maine. La semaine dernière, elle m’a envoyé un e-mail pour me dire,
« J’ai remarqué ces dernières semaines de grandes lacunes dans les rayons de l’épicerie de la ville voisine. Aujourd’hui, à deux endroits, tous les rayons – en haut, au milieu et en bas, sur 1/4 de la longueur de l’allée – étaient complètement vides ! Pour être honnête, je ne sais pas ce qu’il y avait là, mais ce n’est plus là. Et les prix !!!!!!! Les œufs sont à 4,59 $, une boîte de SPAM à 4,39 $. J’ai acheté un sac de chips de maïs Tostidos alors que je prépare du chili, 4,49 $ ! Les produits génériques ou les marques de magasins disparaissent également. Je me demande ce qui se passe ».
Je lui ai demandé de m’envoyer des photos la prochaine fois qu’elle serait en ville, et elle m’a envoyé les photos suivantes, accompagnées d’une note disant : « Voici les rayons vides de l’épicerie dont je vous ai parlé. Ils n’espacent pas les produits comme lors de la pénurie de COVID. Il en va de même dans les quincailleries et les magasins de pièces détachées. Tout ce qu’on nous dit, c’est que c’est dû à des problèmes de chaîne d’approvisionnement. Je pensais que nous avions déjà travaillé sur ce problème !
Dans notre communauté locale, nous n’avons pas remarqué beaucoup de pénuries. J’ai fait un rare voyage en ville il y a quelques semaines et tout semblait aller bien. Je me demande donc si les pénuries que mon ami constate sont d’origine régionale… ou si je ne suis pas en train d’en faire l’expérience. pas ne voient pas de pénuries parce que les magasins les cachent mieux.
Que constatent les autres ?
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Patrice Lewis est un homesteader basé à la Redoute américaine qui tient un blog à l’adresse suivante Révolution rurale. Elle est également romancière et elle est rédactrice au sein de l’équipe de WorldNet Daily (WND). Elle et son mari Don sont des amis de la famille Rawles depuis plus de dix ans.
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